Riad Sattouf, sale chat du rabbin, je n’ai qu’une envie : te balancer contre un mur. Devant ton film, j’étais Farid de la Morlette, je trépignais à l’idée de te jeter contre la façade d’un HLM. J’aurais préféré prendre 1 an de zonz plutôt que mater les 1h30 de ton Jacky, assurément l’œuvre d’un gros handicapé. Ça tombe bien, j’ai trois srabs mineurs de la banlieue de Grenoble qui t’invitent cordialement à une promenade au parc de La Poya. Allez boum, à la flotte Riad, mongolien de merde !
Sattouf, faut le tondre.
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NOTE : 0 / 5
Je donne une note de 0 lancer de séfarade contre le crépi sur 5 à Jacky au royaume des filles.
Je donne une note de 0 lancer de séfarade contre le crépi sur 5 à Jacky au royaume des filles.
Alors Vince, tu viens à la prochaine manif "jour de colère" ? Tu vas bien kiffer, comme la dernière fois, à scander plein de slogans super marrants, avec tous tes potes.
RépondreSupprimer@ Kyle Broflowsky : Manifester c'est une activité de prolo donc non merci. Et puis "Jour de colère" ça n'est pas mon courant idéologique, le mien se situant plutôt du côté de "Nuit de colère", demande à ta mère, je l'ai remplie de fascisme liquide et d'antisémitisme gluant.
SupprimerBravo Vince ! Au moins tu progresses en orthographe, tout n'est peut être pas perdu... En revanche, quand t'écris tes super critiques, essaie au moins d'être précis : "Riad Sattouf, sale chat du rabbin...", tu serais pas un peu en train de confondre avec Johann Sfar ? Effectivement ils viennent tous les deux de la BD, ils sont aussi tous les deux passé au cinoche (hélas pour nous, j'en conviens, ils ont tous les deux plutôt tendance à faire de la merde), mais à part ça, ils ont pas grand chose à voir l'un avec l'autre. Ah si, l'un est feuj, l'autre d'origine syrienne... j'oubliais, tu dois pas vraiment faire la différence entre deux basanés...
RépondreSupprimer@ Kyle Broflowsky : Je n'ai effectivement pas fait la différence entre ces deux métèques gras et incompétents vivant sur le dos des subventions du cinéma français au détriment des vrais de ce monde, messieurs Christian Clavier, Jean Reno et j'en passe.
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