Suite et fin des aventures des cinéastes sud-coréens à Hollywood. Le dernier rempart de Kim Jee-woon et Stoker de Park Chan-wook ne t’ont pas suffi ? Avec son Transperceneige, Boon Jong-ho apporte la preuve par trois que la seule association asiat’ / américaine qui vaille c’est l’assiette de riz nuggets.
Le train de tes injures…
En 2031, en pleine ère polaire, la SNCF maintient tant bien que mal son ultime tgv sur les rails de la survie humaine. Sans retard ni grève des contrôleurs. Putain c’est vraiment le futur !
Turfu ou pas, la SNCF connaît quand même un mouvement social : les pauvres de la 2nde classe, menés par Chris « Bernard Thibaut » Evans, entament une révolte. Eux aussi ils veulent profiter du wagon restaurant ! Compartiment par compartiment, ils avancent jusqu’à la 1ère classe pour capter le wifi gratuit. La CGT, toujours là dans les grands combats.
Le trans perce Nadège
Ce grand combat, les syndicalistes le mènent à la hache dans la seule scène digne d’intérêt du film. Une miteuse resucée de la mythique baston d’Old boy. Le temps pour Clovis Cornillac d’apparaître en guest pour clamser dans la minute suivante. Qu’est-ce qu’il branle là ? J’en sais foutre rien : vu sa mort ridicule, il est venu chercher sa casserole pour Les enfants de la télé.
Avec son Transperceneige, Joon Bong-ho a complètement déraillé.
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NOTE : 1 / 5
Je donne une note de 1 SNCF (Sur Neuf Cinq Fénéants) sur 5 à Snowpiercer, Le transperceneige.
Je donne une note de 1 SNCF (Sur Neuf Cinq Fénéants) sur 5 à Snowpiercer, Le transperceneige.
Bonsoir, 1/5 tu es dur. Tu es même un des rares à ne pas avoir aimé ce film. En revanche, je ne me rappelle pas avoir vu Cornillac, il faut dire que j'ai des problèmes de vue. Bonne soirée.
RépondreSupprimer@ dasola : Haha mais ferme ta gueule cassos, va t'acheter des yeux sale bot.
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