Quand Transformers sodomise Godzilla, voici Pacific rimjob, « le film de la décennie » pour tous ces teubés qui peuplent l’internet, twitter et la non-vie sociale, cette vie parallèle qui commence dans un Pathé et s’arrête à un écran 13" d’ordinateur. Parfois je me félicite de l’existence des arabes : un blogueur ciné, ça lui passe l’envie de crier au chef d’œuvre quand Moustapha lui fait une clé de bras.
C’est con, hein puceau : dans la vraie vie, t’as pas un Jaeger qui vient te défendre quand une cacaille de 13 piges te choure ton Nokia lumia et ton Asus Intel core. Ah ça, ton réal préféré Guillaume du Taureau ne t’avait pas prévenu : il y a pire que les Kaiju, il y a l’Essonne et la Seine-Saint-Denis.
Donc moralité : arrête de fantasmer sur les robots et apprends à te battre, victime.
Et une absence de critique...
RépondreSupprimerJ'attends ton commentaire affligeant L.M.
Extrêmement déçu de cette "non critique". Le film est tellement pourri qu'il y a largement matière à faire une critique très très drôle.
RépondreSupprimervous vous etes foules autant que les scenaristes de ce film, comme le script cette critique tient sur une feuille de PQ pliee en 4. Decu.
RépondreSupprimer@ bob le pal : tu dis ça pass'que t'es vener qu'on ait utilisé la photo de ton dar pour illustrer notre grandissime article.
RépondreSupprimerCourt mais puissant :)
RépondreSupprimerPure critique de sniper. Là où ça fait mal. Digne de Jean Louis Coste.
Je transmet à tous les geeks que je connais. Pour leur ouvrir les yeux!