Dans Trance, James McAvoy et Vinz Cassel se disputent une toile de Goya mais on a tous tépis’ que le nerf de la guerre c’est Rosario Dawson. Vous êtes serious, les mecs ? Vous vous tirez des bastos dans les nouxg’ pour cette moitié de travelo ? Bande de déviants, on dirait Thiago Silva avant l’opération. La meuf, tu l’encules un peu trop fort, direc’ elle te crie « aïe aïe ma prostate ! »
Ah, t’as un full frontal qui prouve le contraire ? Pardon, je savais pas. En effet, le réal Danny Boyle nous gratifie de deux plans xhamsteriens sur la teuch’ lisse comme un parquet de bowling de Rosario. C’est cadeau les potes.
Pour l’anecdote, sachez que ce gros chattard de Boyle s’est tapée Rosario pendant six mois. Salaud, t’as dû te régaler. T’as dû en faire une salade de fruits de son abricot. Dis-moi Danny la malick, tes deux plans sur la vulve de Rosario c’est un témoignage pour l’Histoire ? Un avant / après ? Charognard.
Sinon, Trance c’est typique le film d’un mec capable d’exhiber la foune de sa go : à partir d’un scénar en bois, Boyle te bifle son savoir-faire sur ton front de cinéphile débile. Ça dégueule de couleurs et d’effets de manche, Vinz Cassel parle engliche veri goud ouive hiz amazingue aksente frome Bur-sur-Yvette DiCi, ça te retourne le cerveau avant de te le remettre à l’endroit pour mieux te le ken sur la toute fin. Du bel ouvrage, bravo Suzanne.
J'ai rigolé du début à la fin, l'ennuie c'est que je ne sais toujours pas si tu as aimé le film ou pas :D
RépondreSupprimer@ copa : Faut quand même pas sortir de Saint-cyr pour deviner qu'un film avec deux gros plans sur une teucha, forcément, j'aime.
RépondreSupprimerAbruti, c'est un hommage intrinsèquement cosmogonique et sursignifiant à L'origine du monde. Non ?
RépondreSupprimerC'est honteux un film qui insiste lourdement sur la chatte de Rosario Dawson sans montrer une seule fois la bite de James McAvoy. Je suis choqué.
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