J’aime me cultiver : ainsi, entre le dernier Wong Kar-wai et Mohamed Dubois, je n’ai pas hésité à privilégier l’option française car oui j’achète français monsieur. De toute façon, les films chinois c’est comme les Chinois, t’en as vu un tu les as tous vu, c’est kung-fu, Rush hour, california rolls, Pol Pot et compagnie. Moi, faire des raccourcis ? Pas du tout, c’est pas le sujet, avec Mohamed Dubois s’il y a bien sur la race sur laquelle on va taper, c’est moins les mangeurs de riz que les voleurs de mobylette.
Sans transition, Mohamed Dubois (Eric Judor) intègre une communauté arabe sur un rétro-délit de faciès : français pur souche, il est pris pour un arabe PAR un arabe alors même qu’il ne porte ni jogging Chelsea ni fausse casquette Vuitton. Arnaud Dubois devient donc Mohamed et se lance dans le commerce prospère du sandwich à la viande avariée sur tourniquet rouillé et à la sauce au foutre kabyle : le kébab.
Vol de smartphone, que faire ?
Tout ce que le ciné français compte de seconds rôles maghrébins est présent dans le film, soit déjà la moitié du casting de De l’autre côté du périph. Ce qui est en soi rassurant : tant qu’ils tournent des films, tu peux garer ton scooter tranquille sur Paris.
Cé mwa ke jété vwar ce flim de sinéma a la séence de 22 avek mey srabs francemen dé gross gross barre de rigolette avec la mifa ptdr. En effet, le film recèle de petites vannes bien chaud patate. Malheureusement, le réal Ernesto Ona s’est senti obligé (contraint ?) de les surligner puissance 1000 : dès qu’un protagoniste balance un skeud de lol du genre « Psartek le costume ! », Ernesto fait un arrêt sur image et affiche la mention « Psartek = félicitation. » Bon, par contre, Félicitation sans –s, c’est pas un film de boukak pour rien.
Incendie de véhicule, que faire ?
Même si je m’attendais à un truc sur-stylé à la Platane, je me suis marré comme une merde devant ce film de qualitay. Azy entre couilles et allez golri sa mère comme des tontons du bled.
Intrinsèquement, Mohamed Dubois est plus rigolo que Mohamed Merah.
Le film s’achève sur un happy end dans un charter. C’est dire si le film est bon. Marine Le Pen like this.
Ça envoie du bois.
RépondreSupprimerSinon le dernier clip d'Indochine est signé Xavier Dolan. Et ça envoie du lourd.
RépondreSupprimerbande de nazis de merde!!!!
RépondreSupprimer"Le destin de l’humanité est la confraternité, par delà toute différence morphologique, psychologique ou spirituelle."
RépondreSupprimer« Le racisme n'est pas une opinion, c'est un délit. »
RépondreSupprimerJe vais dénoncer votre site.
FÉLICITER, v. act. ["Félicita-cion", "té": 1re"é" fer.] "Féliciter", c'est témoigner à quelqu' un qu'on est bien aise d'une bone fortune, qui lui est nouvellement arrivée. "Trév." Lui marquer que l'on prend part à sa joie. "Félicitation", action de féliciter. 'Ils vinrent "le féliciter de" ses victoires. 'Faire un "compliment", ou écrire une "lettre de félicitation".
- Il ne se dit qu'avec "lettre" et "compliment". = "Se feliciter"; s'aplaudir, se savoir bon gré de... 'Je "me félicite de m'être tenu" sur mes gardes.
"Rem." "Féliciter", ne date que du dernier siècle. Il était tenu pour barbâre à la Cour, au raport de "Vaugelas", lorsque "Balzac" entreprit de l'acréditer, et en vint à bout. 'Le mot "féliciter" n'est pas françois, disait-il, dans une lettre à M. l'"Huillier:" mais il le sera l'année qui vient. Sa prédiction fut acomplie. Voy. les "Nouv. Synon. Franç." de M. l'Ab. "Roubaud". = "Féliciter" a succédé à "congratuler", qui est presque hors d'usage.
hé oui !
RépondreSupprimerPauvre inculte va...