24 mai 2013

GATSBY LE SWAG

Gatsby le magnifique aurait-il pu vivre en 2013 ? C’est l’enquête de la rédaction.
Dans les années 1920’s, Gatsby conviait la moitié de New York à des chouilles bigger than life dans son château. 0€ de PAF, des hectolitres d’alcool et des domestiques pour te tenir les veuch’ pendant que tu vomis ton whisky de contrebande.
> En 2013, Gatsby le swag te paierait une ‘teille en boîte. Du Jack. En 75 cL.
Dans les années 1920’s, Gatsby organisait ses réssoi dans l’unique but que vienne un soir son amour de jeunesse. Clébard mais classe.
> En 2013, Gatsby créerait un évènement facebook, checkerait parmi les Invités les plus bonnes meufs et constituerait ainsi ses targets de la soirée. Clébard mais imparable.
Dans les années 1920’s, Gatsby vivait d’amour et d’espoir : il aimait son amour de jeunesse (déjà mariée) et espérait qu’elle s’offre un jour à lui. Sa vie ne tournait qu’autour de ces hypothétiques retrouvailles. Une belle pédalerie, à mon avis.
> En 2013, Gatsby lâcherait l’affaire au bout de quelques pokes sans réponse pour aller choper la meilleure copine. Izi.
Sinon le film. Après un début très kikoo, paillettes, putes à frange et robes en dentelle, Gatsby devient le film qu’il devait être : une ode à DiCaprio. Magnétique et flamboyant, il est le parfait Gatsby devant la mauvaise caméra, Baz Lurhmann filmant le tout comme un clip mainstream de 2h20. Pour les mecs, t’as un acteur de kalitay et l’adaptation d’un bon bouquin. Pour les meufs, t’as une love story trooop émouvante quoi et c’est trop styley comme le dernier clip de Rihanna han truc de ouf quoi. Bref, l'attrape-putes par excellence.
Conclusion de la rédaction : avec une place de cinéma, Gatsby le swag a statistiquement 100 fois plus de chance de choper que Gatsby le magnifique, et ce pour un budget 100 000 fois moindre. La semaine prochaine, enquêtes sur la prostitution de quartier et la vasectomie low cost.

22 mai 2013

ONLY GOD FORGIVES : MIEUX QU’UNE PSYCHANALYSE

Après le succès critique et incontestable de Drive, il est peu de dire que le dernier Nicolas Winding Refn était attendu par tous. Only God Forgives est sorti ce mercredi pour clôturer le festival de Cannes 2013, et même si on n’est pas sur la croisette, ASBAF t'offre l'exclu du moment pour briller en société. Leçon de choses, chapitre 2.

Un scénario signé Disney...

Entraîneurs et gérants d'un club de Muay Thaï – menu 18 chez tous les bons chinois – deux frères saignent Bangkok et vivent de ses artères principales. Bastons de gosses, paris illégaux, drogues et tourisme sexuel à moins de 100 bahts font partie du quotidien de Billy et Julian. Puis un soir, probablement ivre et assoiffé de sang, au lieu de lui coller dans le fion comme à son habitude, Billy allonge cordialement son poing dans la gueule d'une gamine suffisamment âgée pour manger des petits LU plutôt que des mandales. Le flic en charge de l'enquête, Chang – c’est même pas une blague raciste, c'est son nom dans le film – décide alors de rendre justice lui-même. Commencent ainsi une vendetta familiale et une plongée dans les névroses d'un américain dans l'ancien royaume de Siam.

… réalisé avec des tripes,

Toujours adepte de la violence à outrance, des longs silences et des personnages aussi mystérieux que charismatiques, Only God Forgives ne fait pas exception à la règle. Une cinquantaine de lignes de dialogues tout au plus, un ticket pour Bangkok, quelques hectolitres de sang, un sabre, un Ryan Gosling, une face de citron, des putes, et hop le tour est joué. Il en faut peu pour faire un bon film, mais pour autant tout le monde n'a pas la capacité qu'a Nicolas de savoir sublimer chaque élément pour étayer ses propos et ainsi parler de la jalousie fraternelle, des complexes physiques, de la frustration sexuelle, tout comme des liens qui unissent une mère à son enfant, de la douce chaleur sécuritaire du fœtus jusqu'au complexe d'Œdipe. En même temps, avec une mère aussi sexy que Kristin Scott Thomas, qui n'aurait pas envie de fourrer maman? Même pour l'empailler?

au satay sur plaque chauffante.

Avec Bangkok en arrière plan, le film prend son ampleur. Dans un pays où la capitale a le nom le plus long du monde – si vous ne me croyez pas –, où les habitants et les crasses ne semblent faire qu'un, où l'essentiel des transports se fait en taxis, en tuk-tuk ou en ridant des éléphants, où l'économie suit la même courbe que l'évolution du tourisme sexuel et où les sports nationaux sont le karaoké, la muay thaï et le ping pong show, de ce pays là, il ne peut sortir qu'un film de cinglé. Et Nicolas l'a bien compris. Il relève donc le défi, use de filtres rouges à foison, compose des plans d'une incroyable précision, recherche dans chaque photo la perfection, et assure la direction d'acteurs, pour un résultat impeccable où rien n'est superflu. Tout ce qu'il nous offre à l'écran nous transporte dans un monde fantasmagorique, dans son monde bordé d'ultra-violence aux codes et aux valeurs omniprésentes, une sorte de cauchemar pour les sains d'esprit dont on espère pouvoir se sortir un jour.
En un mot comme en cent : du nougat !
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20 mai 2013

YO MAMA JESSICA CHASTAIN

Sans capter comment ni pourquoi, cette sous-femme de Jessica Chastain est devenue une star hollywoodienne qui signe des autographes, pose pour les photographes et parfois même nourrit les fantasmes des cinéphiles les plus crève-la-dalle. Alors qu’elle sort Mama sur les écrans, une prod d’horreur tout ken de Guillermo del Toro, ASBAF balance la rouquine dans l’arène pour un Yo momma de circonstance.
Yo la rouquine, t’es tellement une victime que même le soleil te met des coups.
Jessica, t’as un physique tellement vilain qu’on fait rarement la différence entre toi et les monstres du film.
T’es tellement imbaisable que si on regarde bien, dans ton nombril, il y a une pastille anti-vomitive pour les plus courageux.
T’es tellement mauvaise actrice que l’Oscar du meilleur second rôle féminin tu l’as perdu contre une Noire.
Yo poils de carotte, même quand il pleut ça sent meilleur que ton parfum Manifesto.
T’es tellement un tromblon que même sur Disgusting Porn Tube, dans la catégorie Redhead, il n’y a aucune vidéo de toi.
Jessica, t’es comme le coronavirus : une saloperie dont on a pas envie de trouver le vaccin.
Chastain, t’es tellement rousse que quand on te viole, tu demandes à ton agresseur s’il prend la carte vitale.
Fin du game. Tu t’es bien fait bolosser l’arrière train, Jessica. En bons gentlemen, toute l’équipe d’ASBAF t’enverra des fleurs. Quoique, comme toutes les rouquines, j’parie que t’es allergique au pollen. Putain de victime.
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17 mai 2013

LA MUD À PETIT PRIX

Habituellement lorsque je me mets à cracher sur un réalisateur, c'est irrémédiable et ma haine se propagera sur tous ses travaux, ses adorateurs, et ce jusqu'à sa mort, ou la mienne. Il y a un an je me plaçais dans la catégorie des détracteurs du surestimé Jeff Nichols qui avait gratifié le cinéma de son soporifique Take Shelter. L'engouement alors suscité autour du bonhomme, et son soutien par les hipsters de bas étages, m'avaient entièrement convaincu que cet arriviste de la dernière heure n'était qu'un imposteur idolâtré pour quelques plans bien choisis, essentiellement porté par une veine de cocu et des fanboys aveuglés de connerie. 
Aujourd'hui encore j'en garde quelques doutes, mais son dernier Mud est au cinéma ce qu'une pipe goulue est au sexe consenti (ou non) : une entrée en matière intéressante et une nécessité pour le bon déroulement des événements. Refuser cet élément indispensable peut provoquer des déviances inattendues. « Ah tu veux pas sucer ? Très bien. Boum, je te colle un doigt dans le péteux, tu m'en diras des nouvelles. Tu feras moins ta précieuse la prochaine fois. » Voilà, mieux encore, Mud est comme une paire de phalanges glissée dans ton rectum. Au début ça démange, puis on y prend vite goût et on en redemande plus, et enfin quand on arrive au bout, ça devient jouissif. Sans même l'avoir imaginé, tu te retrouves avec une empreinte digitale dans le colon, que même les experts Miami auront du mal à identifier. Tout en Mud est follement bon, du casting à la mise en scène, du scénario à la photographie, du début à la fin, rien n'est à jeter. 
Jeff Nichols nous ouvre ici une fenêtre sur son enfance de redneck, sur les comportements humains, sur son Amérique des bas fonds et plus précisément sur les bords du fleuve du Mississippi. Là où l'honneur et le respect se gagnent à la force de ses poings et de ses convictions, là où l'enfant révèle l'homme qu'il deviendra, là où l'amour est une traînée de motels à 10$ de l'heure, là où une mandale bien placée vaut mieux qu'un long discours, là où la virilité ne s'acquiert pas avec des t-shirts col V, le torse épilé et une paire d'espadrilles aux pieds. Un sans faute qui me remet à ma place, et qui prouve que le réalisateur n'est pas le faussaire incompétent qu'il m'avait semblé être en premier lieu.
Bon c'est sûr que ça vaut pas Fast & Furious 6, mais ça devrait récolter quelques petites statuettes dorées l'an prochain. Je veux rien te dévoiler de plus sur le film, cours-y tant que t'as encore des jambes, et si t'écoutes pas mon conseil je viendrais te les briser, ça t'apprendra.
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15 mai 2013

UN TRANS DANS TRANCE

Dans Trance, James McAvoy et Vinz Cassel se disputent une toile de Goya mais on a tous tépis’ que le nerf de la guerre c’est Rosario Dawson. Vous êtes serious, les mecs ? Vous vous tirez des bastos dans les nouxg’ pour cette moitié de travelo ? Bande de déviants, on dirait Thiago Silva avant l’opération. La meuf, tu l’encules un peu trop fort, direc’ elle te crie « aïe aïe ma prostate ! »
Ah, t’as un full frontal qui prouve le contraire ? Pardon, je savais pas. En effet, le réal Danny Boyle nous gratifie de deux plans xhamsteriens sur la teuch’ lisse comme un parquet de bowling de Rosario. C’est cadeau les potes.
Pour l’anecdote, sachez que ce gros chattard de Boyle s’est tapée Rosario pendant six mois. Salaud, t’as dû te régaler. T’as dû en faire une salade de fruits de son abricot. Dis-moi Danny la malick, tes deux plans sur la vulve de Rosario c’est un témoignage pour l’Histoire ? Un avant / après ? Charognard.
Sinon, Trance c’est typique le film d’un mec capable d’exhiber la foune de sa go : à partir d’un scénar en bois, Boyle te bifle son savoir-faire sur ton front de cinéphile débile. Ça dégueule de couleurs et d’effets de manche, Vinz Cassel parle engliche veri goud ouive hiz amazingue aksente frome Bur-sur-Yvette DiCi, ça te retourne le cerveau avant de te le remettre à l’endroit pour mieux te le ken sur la toute fin. Du bel ouvrage, bravo Suzanne.
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9 mai 2013

SOUS SURVEILLANCE : SHIA LABEOUF CHEZ MEDIAPART

Il y a des métiers qu’on ne souhaiterait même pas à son enfant comme par exemple éboueur, vigile ou pire encore… journaliste. Je préfère encore savoir mon fils laveur de carreaux dans un peepshow que journaliste politique. Si toi aussi tes principales qualités sont l’asservissement et la mendicité, dépose vite ton CV à la rédac du Point et de Marianne. Shia Labeouf, lui, a joint une lettre de motiv’ et bim, le voilà journaliss’ à l’Albany Sun Times. ALBANY, quand je te dis que journaleux c’est un métier de roumain.
xhamster > Mediapart
Shia Labeouf est un journaliste en quête de vérité. Il la traque partout. Tout le temps. Plus Shia s’approche de la vérité, plus il arbore une ‘stache noire proéminente. Le mec se prend pour Edwy Plenel. C’est ça ton plan de carrière Labeouf, ressembler à un laitier ?
Quand Robbie Redford disparaît peu après l’arrestation d’une ex-militante d’extrême gauche des 70’s, Shia mène l’enquête. Et c’est peu de dire qu’il a trois longueurs d’avance sur le FBI : le mec n’est pas le genre à passer ses 35h à recopier des dépêches afp. D’ailleurs pour lui, l’AFP c’est moins l’Agence France-Presse que l’Agence des Fils de Pute.
cam4 > Le Figaro
Comme il ne bosse pas pour un gratuit, Shia conserve une haute opinion de son taf : quand un flic le menace, Shia lui rétorque un imparable « ah ouais !? et ben je vais l’écrire dans mon journal ! » Un bonhomme. Le jour où il tombe dans une rixe, entre un cutter et le traitement de textes, le mec choisit Word. « Cogne-moi et ton nom figure dès demain en page 5 de mon journal ! Azy dégage ou épelle-moi ton patronyme ! Abdelkader…comment tu dis ? »
Sinon, Sous surveillance c’est du Robert Redford tout craché : soporifique. Le mec a créé un festival de ciné indé US alors qu’il est certainement l’un des plus mauvais réals américains en (fin d’) activité. Tu ressembles à rien Robbie, t’es old, qui porte encore des vestes de jog’ Reebok ? On dirait le trésorier d’une association de volleyeurs. Casse-toi.
En bon journaliss’ d’investigation que je suis, j’ai mené l’enquête, attention scoop : ce n’est pas Robert Redford à l’écran mais bel et bien Jane Fonda. Tremble Mediapart.
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7 mai 2013

COCK EN STOKER

J’ai deux pays préférés. 1) L’Iran, parce que là-bas la femme est respectée à sa juste valeur. 2) La Corée du Sud, parce que là-bas les mecs savent réaliser des films aussi bonnards que le soapy massage des kinésithérapeutes locales. En embauchant des réals coréens, Hollywood a appliqué la politique du sexe tarifé : une fois le chèque signé, le bridé s’exécute poliment. Jusqu’à la dernière goutte. Après le tout ken Dernier rempart de Kim Jee-woon, quid du Stoker de Park Chan-wook ?
Old boy meets Kidman
Un mystérieux oncle (Matthew Goode) débarque au chevet endeuillé de la famille de son frère décédé. Se pose alors le dilemme : qui pécho preum’s ? la nièce ou la belle-sœur ? Choix cornélien pour l’oncle : avec une Kidman encore plus gorgée de botox que de foutre, dissocier la mère de la fille n’est pas une mince affaire. Heureusement, l’hymen ne ment jamais.
Point WTF du film : le scénario est signé Wentworth Miller, tu t’souviens, le plumeau de Prison break. Quand il galérait à sortir de sa zonz, tu imaginais Michael Scoffield pondre le script du dernier Park Chan-wook ? Non ? Bah moi encore moins. Dis-moi Scoffield, ton scénar aussi tu te l’es tatoué sur le corps ? Vu la fin de merde de ton film, ça m’étonnerait pas que tu sois tatoué le twist final autour du trou d’balle.
J’ai vu le film en VOST mais rassurez-moi les gars, sur la VF, Faf Larage chante pas le générique hein ?
Slutty filmmaker gives soapy massage
On t’a survendu Stoker comme un hommage à Hitchcock. Crois-moi, c’est pas plus un hommage à tonton Hitch qu’à Christian Clavier. Salaud de Scoffield, t’es un bon, t’as soudoyé combien de matons pour que Hollywood fasse une telle de propagande de ton talent d’auteur ? Il paraît que t’écris déjà la suite, Stoker 2 : putain, comme sous les douches pénitentiaires, tu t’arrêtes jamais. Otarie goulue, va.
Pendant ce temps-là, Park Chan-wook illustre le torchon de l’aut’ idole des geôles. N’ayant rien à filmer, le réal laisse parler sa technique et, sous le joug hollywoodien, livre un exercice de style complètement bridé. Le comble pour un niakwé.
Comme Kim Jee-woon avant lui, Park Chan-wook s’est fait bouffer les couilles par l’industrie yannkee. Bong Joon-ho avec son Transperceneige ne devrait pas mieux s’en sortir. Moralité : le ciné coréen hors des contrées du matin calme, c’est comme un soapy massage par une cow-girl, ça s’émousse plus que ça ne mousse.
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5 mai 2013

MOHAMED DUBOIS : MARINE LE PEN APPROVED

J’aime me cultiver : ainsi, entre le dernier Wong Kar-wai et Mohamed Dubois, je n’ai pas hésité à privilégier l’option française car oui j’achète français monsieur. De toute façon, les films chinois c’est comme les Chinois, t’en as vu un tu les as tous vu, c’est kung-fu, Rush hour, california rolls, Pol Pot et compagnie. Moi, faire des raccourcis ? Pas du tout, c’est pas le sujet, avec Mohamed Dubois s’il y a bien sur la race sur laquelle on va taper, c’est moins les mangeurs de riz que les voleurs de mobylette.
Sans transition, Mohamed Dubois (Eric Judor) intègre une communauté arabe sur un rétro-délit de faciès : français pur souche, il est pris pour un arabe PAR un arabe alors même qu’il ne porte ni jogging Chelsea ni fausse casquette Vuitton. Arnaud Dubois devient donc Mohamed et se lance dans le commerce prospère du sandwich à la viande avariée sur tourniquet rouillé et à la sauce au foutre kabyle : le kébab.
Vol de smartphone, que faire ?
Tout ce que le ciné français compte de seconds rôles maghrébins est présent dans le film, soit déjà la moitié du casting de De l’autre côté du périph. Ce qui est en soi rassurant : tant qu’ils tournent des films, tu peux garer ton scooter tranquille sur Paris.
Cé mwa ke jété vwar ce flim de sinéma a la séence de 22 avek mey srabs francemen dé gross gross barre de rigolette avec la mifa ptdr. En effet, le film recèle de petites vannes bien chaud patate. Malheureusement, le réal Ernesto Ona s’est senti obligé (contraint ?) de les surligner puissance 1000 : dès qu’un protagoniste balance un skeud de lol du genre « Psartek le costume ! », Ernesto fait un arrêt sur image et affiche la mention « Psartek = félicitation. » Bon, par contre, Félicitation sans –s, c’est pas un film de boukak pour rien.
Incendie de véhicule, que faire ?
Même si je m’attendais à un truc sur-stylé à la Platane, je me suis marré comme une merde devant ce film de qualitay. Azy entre couilles et allez golri sa mère comme des tontons du bled.

Intrinsèquement, Mohamed Dubois est plus rigolo que Mohamed Merah.
Le film s’achève sur un happy end dans un charter. C’est dire si le film est bon. Marine Le Pen like this.
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