Le film sort dans l’indifférence générale alors je prends le mic’ pour défendre Piégée. C’est signé Steven Soderbergh, ce mec est genious mais personne n’a l’air de le capter – ou tout le monde s’en branle. Le type fait le taf trois fois plus vite que la normale : en 20 piges de carrière, il a remporté la Palme d’or dès son coup d’essai, déjà arrêté cinq fois sa carrière et refait quatre come-back. A lui seul, il a tourné les trois quarts des filmographies de George Clooney et Matt Damon. Et quand tu mates sa propre filmo supa-prolifique, t’as l’impression que le mec vit en années chat.
Avec Piégée, Steven n’a pas chamboulé son emploi du temps d'un iota : tournage éclair, chef op’ d’excellence et un casting fun et bigarré où se croise Michael Fassbender, Channing Tatum et la championne d’arts martials Gina Carano. Le film est une merveille de sophistication et de découpage, le début est au milieu, la fin au début, la fin du début à la fin, alors bien sûr si tu l’enchaînes avec le dernier Jason Stathanne, casse-toi.
Si t’as du goût et un cerveau, Piégée est pour toi. Vrais reconnaissent vrais.
Dans sa globalité le film est bon, mais on s'emmerde quand même pas mal, faute à un scénario ultra slim et déjà vu 1000 fois.
RépondreSupprimerUn scénario prétexte et bidon pour que papa Soderbergh puisse s'amuser comme un ptit fou fou avec ses jouets. Comme il fait d'habitude en fait. Evidemment, tant qu'il y aura des buses pour crier au génie, il continuera. Mais ce serait bien qu'un jour il raconte une histoire, une vraie...
RépondreSupprimeret la meuf, championne ou pas, est à peine potable (et a un vrai gout de chiotte en matiere de fringue). Soderbergh : filmo dense mais un film sur deux est à jeter et "contagion" était pas si mal donc...
RépondreSupprimerQuel intérêt de rassembler un casting aussi bon pour un film aussi pourri. De bonnes idées mais pas du tout exploitées. Je parle même pas de la BO, qui est juste insupportable. Raté pour cette fois-ci pour ma part
RépondreSupprimeron va suivre le conseil
RépondreSupprimeron va suivre le conseil
RépondreSupprimerIl ne mérite, au mieux, que notre indifférence.
RépondreSupprimerJ'ai lu l'exacte contraire dans un autre blog ciné. Qui a des gouts de chiottes ?
RépondreSupprimerAh nononon. C'est un peu soigné, c'est jazzy, y'a du sacré casting mais bordel qu'est ce qu'on s'emmerde.
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RépondreSupprimer"Le film est une merveille de sophistication et de découpage"
RépondreSupprimerEffectivement, brillante analyse qui donne tout de suite envie d'adorer cette purge soporifique et débile. Soderbergh a les fans qu'il mérite...
Trouver du génie à un réal qu'absolument tout le monde s'accorde à considérer comme un triso et que ses films désignent eux-même comme tel, au bout d'un moment ça donne moins l'air cool que l'air con...
RépondreSupprimer>>ZZ a dit...
RépondreSupprimer>>Je vous conseille de lire cette critique pour avoir un autre son de cloche :
>>http://monblogdemerde.com/critiquedemerde
Okay les sous-hommes, les commentaires d'insultes y'a pas de problème, par contre à partir de maintenant je dégage direct tous les mongoliens qui feront de la pub pour leur blog de merde, surtout s'ils sont postés soit-disant par des anonymes.
Allez vous trouver des lecteurs autre part et vous faire baiser, tant qu'à faire.
D'accord avec Matt. Même toi Vincent, je comprends pas ce que tu trouves à cette daube. Si tout ce qui intéresse Soderbergh c'est de se pignoler avec sa caméra (et il le fait bien), qu'il fasse des courts-métrages au lieu de nous péter les couilles pendant presque deux heures juste pour placer les trois-quatre scènes qui l'intéressent. Et la fin est à chier.
RépondreSupprimerPour le casting il aurait très bien pu prendre des acteurs inconnus, ça aurait été tout aussi bien (et moins cher), vu qu'il n'y a pas de script. Même McGregor et Fassbender qui d'habitude sont à fond ont l'air de s'emmerder.
D'ailleurs le chef op' (Peter Andrew) c'est Steven sous un pseudo...
RépondreSupprimerun réalisateur supra-prolifique, ou supra soporifique, une palme d'or dès son coup d'essai ne justifie pas le nombre de film sous tranxen 200 qu'il a pu nous servir, d'une lenteur d'un inintéret et d'une lassitude gravissime, le pompom étant atteind avec ce Piégée qui endormirait le plus insomniaque des telespectateurs. Aimer ce film relève du pire des snobismes qui soit
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