Bonjour fidèles lecteurs/lectrices d'ASBAF. Je sais que ces derniers temps, nous avons perdu notre rythme de parution de shitty reviews dont vous êtes tant friands. Alors, je replie mes manches, et pof je me remet au boulot pour vous sacrés veinards.
Sortez vos manuels, page 18, nous allons aujourd'hui parler de Daft Punk's Electroma. Bon pas besoin de vous dire qui sont les Daft Punk, mais saviez vous qu'ils avaient réalisé un long métrage sorti en salles (à Paris seulement) en 2006? Non? Et bien tant mieux, je vous apprends au moins un truc. Pour ceux qui le savaient, merci de vous taire. Le flim est facile et rapide à expliquer, mais dur à critiquer.
En gros, le flim commence dans le désert de la Californie avec une longue succession de plans plus beaux les uns que les autres, où on suit le parcours de la voiture stylé rétro de deux robots, à la plaque d'immatriculation intitulée « HUMAN ». Se poursuit alors un road movie lent sur fond de musique électro oppressante, où nos deux héros poursuivent leurs destinées en quête d'identité et d'humanité.
Guy-Manuel et Thomas nous apportent avec ce flim la preuve qu'ils sont aussi bons en musique qu'en cinéma. Sur papier rien de bousculant, mais la finesse du scénario permet aux deux compères de poser les bases de leurs réflexions sur l'être humain et sa personnalité, et de les traiter de façon kubrickienne. Vus à travers les traits de deux robots, les reflets de l'être humain sont tirés et nous entrainent dans un parcours initiatique de la recherche d'unicité, d'exclusivité et d'identité. Cette phrase est totalement incompréhensible? C'est normal.
Destinés aux grands passionnés du cinéma expérimental, j'ai bien conscience que raconté et critiqué comme ça, peu d'entre vous seront intéressés pour voir ce flim, mais je peux vous assurer qu'il vaut son pesant de cacahuètes.
Sortez vos manuels, page 18, nous allons aujourd'hui parler de Daft Punk's Electroma. Bon pas besoin de vous dire qui sont les Daft Punk, mais saviez vous qu'ils avaient réalisé un long métrage sorti en salles (à Paris seulement) en 2006? Non? Et bien tant mieux, je vous apprends au moins un truc. Pour ceux qui le savaient, merci de vous taire. Le flim est facile et rapide à expliquer, mais dur à critiquer.
En gros, le flim commence dans le désert de la Californie avec une longue succession de plans plus beaux les uns que les autres, où on suit le parcours de la voiture stylé rétro de deux robots, à la plaque d'immatriculation intitulée « HUMAN ». Se poursuit alors un road movie lent sur fond de musique électro oppressante, où nos deux héros poursuivent leurs destinées en quête d'identité et d'humanité.
Guy-Manuel et Thomas nous apportent avec ce flim la preuve qu'ils sont aussi bons en musique qu'en cinéma. Sur papier rien de bousculant, mais la finesse du scénario permet aux deux compères de poser les bases de leurs réflexions sur l'être humain et sa personnalité, et de les traiter de façon kubrickienne. Vus à travers les traits de deux robots, les reflets de l'être humain sont tirés et nous entrainent dans un parcours initiatique de la recherche d'unicité, d'exclusivité et d'identité. Cette phrase est totalement incompréhensible? C'est normal.
Destinés aux grands passionnés du cinéma expérimental, j'ai bien conscience que raconté et critiqué comme ça, peu d'entre vous seront intéressés pour voir ce flim, mais je peux vous assurer qu'il vaut son pesant de cacahuètes.
tu entends quoi par "traiter de façon kubrickienne" ? c'est assez large
RépondreSupprimerJ'entends par là, que le film est un espèce de croisement entre un road movie et 2001 l'odyssée de l'espace, une analyse physique et métaphysique de l'être humain via le voyage initiatique et la découverte de l'être. Ca te va?
RépondreSupprimerIl manque encore deux trois expressions savantes pour faire plus vrai :o)
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