Après une session de visionnage de deux flims, hier au soir avec L.M. je me sentais dans l'obligation de faire une shitty review de ce qu'on avait vu.
On commence tout d'abord par LOL.
Histoire de se libérer les neurones, et d'être abasourdis devant tant de nullité, nous avions décidé de regarder LOL (Laughing out loud), vous savez cette matière fécale de Lisa Azuelos sortie en février dernier. Affublé d'un casting de merde pour une daube épique, LOL se concentre autour de l'histoire de Lola – surnommée lol par ses amis, mais nous n'en avons aucune preuve – et de ses problèmes de petite – pute – bourgeoise du 16ème.
Malheureusement, basé sur une idée louable qui était de rendre image à la complexité de la communication entre parents et enfants, le flim s'est enlisé dans un dialogue de sourd, où l'essentiel du flim se trouve dans une histoire amoureuse de teenager, et de ce que font parents et enfants lorsque les uns et les autres ont le dos tourné.
Pourquoi je n'ai pas aimé le flim? Cela peut être dû à deux raisons: ou je suis trop vieux pour regarder cette Boum-like 30 ans près, ou le flim est destiné à un public très jeune et définitivement limité. Le flim est rempli de clichés en tout genre, allant du bobo qui fait trop son bad boy en passant la nuit à jouer au poker avec ses potes avant d'aller en cours alors qu'il a 15 ans, aux anglais qui bouffent des pates sur du pain de mie et idôlatrant Lady Di au point d'en avoir des coussins imprimés, en passant par la démarche ridicule façon Beatles parce que tu comprends on est en England. A vrai dire, la chanson de TTC "De pauvres riches" semble écrite pour définir Lola et ses amis.
Outrepassés ces clichés plus gros que Manuel Uribe, le flim divertit. On a l'occasion de bien rire 3 fois durant le flim: une fois avec Alexandre Astier – qui n'en a rien à branler du flim et qui se demande ce qu'il fout là – , une fois avec la blague du Nespresso, et une fois avec la trisomique anglaise. Passé cette rigolade, Sophie MILF Marceau joue mal et on s'en aperçoit. D'habitude, on focalise sur sa belle gueule et on ne se concentre pas sur son jeu d'actrice, mais dans LOL, elle joue tellement comme une tarte que ça en devient flagrant. A cette mauvaise prestation s'ajoutent celle des enfants – tous –, et des parents – tous – qui à mon goût devraient mettre quelques baffes à leurs sales mioches qui les prennent vraiment pour des cons. Classés hors compétition, j'émets deux exceptions pour Astier et Quirvin, qui jouent leur rôle professionnellement et conscienceusement.
Bref, inintéressant, naïf, mal cadré, pas du tout représentatif – du moins je l'espère sinon on est mal barrés – , dialogues mauvais, scènes inutiles et axées sur une population vraiment restreinte, Lisa Azuelos a évidemment fait un carton, et même un gros carton puisque le flim aura droit à 10 semaines d'exploitation en cinéma, et récoltera plus de 3,5 Millions de spectateurs, ce qui comparé à Twilight – référence du cinéma pourri – est supérieur de 800 000 spectateurs. Oui, les chiffres font frémir.
Malgré tout, je tiens à lui attribuer deux mentions spéciales. Une pour le fils d'Emmanuel Chain qui a bien pris soin de son look pour le flim, et une pour les décors en partie pour la baignoire de 18 mètres au début du flim.
En clair, un flim à ne pas manquer ! Et pourvu qu'une suite voie le jour., du style LOL² ou MDR.
On commence tout d'abord par LOL.
Histoire de se libérer les neurones, et d'être abasourdis devant tant de nullité, nous avions décidé de regarder LOL (Laughing out loud), vous savez cette matière fécale de Lisa Azuelos sortie en février dernier. Affublé d'un casting de merde pour une daube épique, LOL se concentre autour de l'histoire de Lola – surnommée lol par ses amis, mais nous n'en avons aucune preuve – et de ses problèmes de petite – pute – bourgeoise du 16ème.
Malheureusement, basé sur une idée louable qui était de rendre image à la complexité de la communication entre parents et enfants, le flim s'est enlisé dans un dialogue de sourd, où l'essentiel du flim se trouve dans une histoire amoureuse de teenager, et de ce que font parents et enfants lorsque les uns et les autres ont le dos tourné.
Pourquoi je n'ai pas aimé le flim? Cela peut être dû à deux raisons: ou je suis trop vieux pour regarder cette Boum-like 30 ans près, ou le flim est destiné à un public très jeune et définitivement limité. Le flim est rempli de clichés en tout genre, allant du bobo qui fait trop son bad boy en passant la nuit à jouer au poker avec ses potes avant d'aller en cours alors qu'il a 15 ans, aux anglais qui bouffent des pates sur du pain de mie et idôlatrant Lady Di au point d'en avoir des coussins imprimés, en passant par la démarche ridicule façon Beatles parce que tu comprends on est en England. A vrai dire, la chanson de TTC "De pauvres riches" semble écrite pour définir Lola et ses amis.
Outrepassés ces clichés plus gros que Manuel Uribe, le flim divertit. On a l'occasion de bien rire 3 fois durant le flim: une fois avec Alexandre Astier – qui n'en a rien à branler du flim et qui se demande ce qu'il fout là – , une fois avec la blague du Nespresso, et une fois avec la trisomique anglaise. Passé cette rigolade, Sophie MILF Marceau joue mal et on s'en aperçoit. D'habitude, on focalise sur sa belle gueule et on ne se concentre pas sur son jeu d'actrice, mais dans LOL, elle joue tellement comme une tarte que ça en devient flagrant. A cette mauvaise prestation s'ajoutent celle des enfants – tous –, et des parents – tous – qui à mon goût devraient mettre quelques baffes à leurs sales mioches qui les prennent vraiment pour des cons. Classés hors compétition, j'émets deux exceptions pour Astier et Quirvin, qui jouent leur rôle professionnellement et conscienceusement.
Bref, inintéressant, naïf, mal cadré, pas du tout représentatif – du moins je l'espère sinon on est mal barrés – , dialogues mauvais, scènes inutiles et axées sur une population vraiment restreinte, Lisa Azuelos a évidemment fait un carton, et même un gros carton puisque le flim aura droit à 10 semaines d'exploitation en cinéma, et récoltera plus de 3,5 Millions de spectateurs, ce qui comparé à Twilight – référence du cinéma pourri – est supérieur de 800 000 spectateurs. Oui, les chiffres font frémir.
Malgré tout, je tiens à lui attribuer deux mentions spéciales. Une pour le fils d'Emmanuel Chain qui a bien pris soin de son look pour le flim, et une pour les décors en partie pour la baignoire de 18 mètres au début du flim.
En clair, un flim à ne pas manquer ! Et pourvu qu'une suite voie le jour., du style LOL² ou MDR.
La grande question c'est quand même pourquoi ce téléfilm a-t-il été diffusé au cinéma.
RépondreSupprimerEt surtout le prélude de Chopin en plein milieu on sait pas ce que ça fout là, ça fait genre "DITES LA PROD IL NOUS FAUT UN MORCEAU DE CLASSIQUE AH OUAIP CA FERAIT GRAVE CLASSIEUX LA."
Pourriture bobo inculte.
Un machin de pauvres riches comme tu dis...
Le message caché du film :
RépondreSupprimer"C'est pas parce qu'on ne connait pas la crise que nous les bourges on a pas des vrais problèmes aussi".
Ouaip exactement.. dans le genre morale immonde ya aussi ce film avec Carole Bouquet en connasse bourgeoise (pour changer) qui prend un sdf en pitié et en tombe amoureuse... plus hautain, improbable, vomitif, tu crèves.
RépondreSupprimerAh putain ouaip, ça s'appelle "Si c'était lui" avec Marc Lavoine, et aussi Florence Foresti. Du lourd !
RépondreSupprimerCeci dit, Sawlight vient de me faire réfléchir à une idée d'article sur les pires morales de flims qui existent. Merci.
moi je connais pas la crise et j'ai des problèmes . Chopin c'est bien, mais Bach c'est mieux .Et moi je dis, un film de bobo style la boum ..qu'est ce que vous voulez de plus . This dream is my reality thanks to LOL :) . Bon j'ai pas vu le film car j'ai pas la motiv mais ça à l'air ...
RépondreSupprimerAh, mais rassure toi, nous savions d'ores et déjà à quoi nous attendre, nous voulions simplement en avoir le coeur net pour ne pas cracher notre bile sur quelque chose qu'on aurait pas vu. Après, il y a des exceptions, pas besoin d'avoir vu Dragon Ball Evolution pour savoir que c'est de la merde.
RépondreSupprimerMême les gens blindés ont leurs problèmes, tout n'est pas qu'une question de thunes et heureusement. Mais faut voir de quels problèmes on parle dans le film hein. Si par "problèmes" tu entends être foutu de te couper les veines parce que ta mère t'interdit de faire une fête chez toi pour ton anniv comme dans le film, alors je te conseille de le mater en boucle jusqu'à taper une rupture d'anévrisme suivie d'une hémorragie interne. Just kidding hein, déjà qu'on a peu de gens qui prennent le temps de commenter.. faut les garder en bonne santé.
RépondreSupprimerSinon préférer Bach à Chopin ou l'inverse c'est comme préférer les chevaux aux poutres, c'est concevable mais pas pertinent.. ils n'ont pas grand chose à voir :)
Même si j'ai beaucoup ri à ta dernière phrase, je ne te trouve pas vraiment partial. Chacun fait des choix, et des comparaisons, le blog en est rempli, et je trouve que le monsieur est totalement dans son droit d'avoir une préférence entre Chopin et Bach même si il est bien dommage que celle ci ne soit pas commentée.
RépondreSupprimerFaut pas prendre tout ce que je dis au premier degré non plus :) Je remets pas en question le droit des gens à critiquer ou à préférer des trucs, donc remets pas en question mon droit à critiquer les critiques ou les préférences, enfoiré de rouge. Surtout quand ça peut engager la discussion.
RépondreSupprimerEnfin bon les lecteurs de notre blog sont assurément l'espoir futur de l'humanité donc je suis sûr que checkmywallet n'a pas mal pris mon commentaire :)
Et puis on est pas sur le twitter de soeur Emmanuelle, les commentaires fulminants - second degré ou non - ça fait ton sur ton, ça choque personne.
RépondreSupprimerje ne prends pas mal un commentaire, je donne mon avis, vous donnez le votre . Je prèfère Bach à Chopin comme certain préfère les poutres aux chevaux , comme vous trouvez que certain films sont nuls et d'autre cools :).C'est peut etre plus pertinent de commenter ma préference mais j'ai un peu un manque de motiv' pour ça , en plus je dois aller retourner des films au Vidéoclubeuhhh .
RépondreSupprimerbabye .
Et pourquoi ne pourrait-on pas critiquer ou juger sans même connaître, sans avoir vu ou écouté? On a quand même un truc intéressant et pertinent, qui se vend et que l'on acquiert, qui s'appelle l'expérience et qui permet d'éviter de perdre du temps et de savoir à l'avance si telle ou telle chose va être naze ou non. Quand tu vois une affiche de film pourrie ton expérience te dit bien qu'il y a généralement corrélation entre film et affiche non et que le film va être pourrie? Après c'est pareil pour tout, pas systématique mais généralisable.
RépondreSupprimerJe suis en partie d'accord et comprends bien ce que tu veux transmettre, mais aussi d'après mon expérience, il ne faut pas généraliser et juger sur l'apparence. Un exemple concret: Clerks(le premier). L'affiche donne pas forcément ni franchement envie, et pourtant on découvre un putain de morceau. Après, il est évident que pour LOL, on savait pertinemment qu'on foutait les pieds dans de la merde. Mais le but était de savoir si c'était le genre de merde qui peut passer, et détendre, ou le genre qui colle à la chaussure et dont tu mets 3 mois à te débarasser.
RépondreSupprimerCeci dit, les préjugés ça reste très drôle.
J'approuve sawlight à mort, et puis bon je prends un plaisir fou à vomir sur tout ce qui bouge, encore plus si j'ai pas vu/lu/écouté.
RépondreSupprimerD'ailleurs si il se trouve que j'aime bien le truc au final, c'est une situation bien reloue pour moi. Ma mauvaise foi italienne caractéristique m'empêchera longtemps de l'avouer.
Mais c'est tellement bon.