Attention cet article sera court et sans intérêt, passez votre chemin.
Alors voilà, depuis quelques temps déjà, le père d'un copain nous parlait d'un flim qu'il avait vu jeune, et qui l'avait bien retourné. Ni une, ni deux, nous nous mîmes à la recherche de cette oeuvre, en quête de frissons, d'excitation, et de sensations fortes. Après des mois d'efforts sans relâche, nous parvimes à mettre la main sur le dayvayday de ce flim en question. O joie !
Sans plus attendre, le flim s'appelle Deliverance (Délivrance). Flim de John Boorman sorti en 1972 sur nos écrans. Réalisateur d'Excalibur, et du Tailor of Panama. Il a aussi quelques nanars à son actif, comme beaucoup, dont le probablement fabuleux Zardoz dont je me mets en quête dès aujourd'hui. Voici la bande annonce plus magique que tout.
Il nous livre ici le récit de 4 gars ordinaires jouant les aventuriers un peu bidons partis avec leur laguioles et leur arc en caoutchouc à la conquête d'une rivière sauvage. S'échappant de leurs minables existences à la ville, ils ont donc décidé de descendre cette rivière en canoés. Mais quelques embuches se mettent sur leur route. Deux chasseurs débilo consanguins font deux des leurs prisonniers. Mais, c'était sans compter qu'on vienne à leur rescousse, et que l'un des deux bouseux se fasse buter d'une flèche. S'ensuit le dilemme un peu trop classique: Que fait-on ? On balance tout à la police ? On l'enterre ? Je vous laisse imaginer la suite du flim. Juisqu'ici celui ci est parti rapidement en live, et on s'attend donc à une descente en enfer bien comme on les aime. Et finalement, non rien, que d'chie, nada, niet, walou. La tension est au plus bas, les acteurs essaient désespérément de ne pas laisser couler un scénario bancal, mais le vaisseau finit par couler.
Finalement, on en retire que seulement la première partie du flim nous intrigue et nous plonge au coeur de l'histoire, que Jon Voight joue bien mais pas top. On attend de Burt Reynolds un rôle plus important sachant que c'est le personnage qui a le plus de caractère. Les plans caméras sont sans intérêt particulier. Un filtre bleu utilisé lors des scènes de nuit finit par agacer. L'intrigue aurait pût être intéressante si seulement le scénario n'avait pas été aussi plat. Bref, une grande déception pour mon ami et moi, je lui donne l'appréciation : « Peut mieux faire ». Ceci étant dit, nous sommes plus ou moins en désaccord sur le fait de le conseiller ou non. Si vous avez l'occasion de le regarder, et que votre père ou qui que ce soit vous dit que c'est 'achement bien, ne le croyez pas, et passez votre chemin.
Alors voilà, depuis quelques temps déjà, le père d'un copain nous parlait d'un flim qu'il avait vu jeune, et qui l'avait bien retourné. Ni une, ni deux, nous nous mîmes à la recherche de cette oeuvre, en quête de frissons, d'excitation, et de sensations fortes. Après des mois d'efforts sans relâche, nous parvimes à mettre la main sur le dayvayday de ce flim en question. O joie !
Sans plus attendre, le flim s'appelle Deliverance (Délivrance). Flim de John Boorman sorti en 1972 sur nos écrans. Réalisateur d'Excalibur, et du Tailor of Panama. Il a aussi quelques nanars à son actif, comme beaucoup, dont le probablement fabuleux Zardoz dont je me mets en quête dès aujourd'hui. Voici la bande annonce plus magique que tout.
Il nous livre ici le récit de 4 gars ordinaires jouant les aventuriers un peu bidons partis avec leur laguioles et leur arc en caoutchouc à la conquête d'une rivière sauvage. S'échappant de leurs minables existences à la ville, ils ont donc décidé de descendre cette rivière en canoés. Mais quelques embuches se mettent sur leur route. Deux chasseurs débilo consanguins font deux des leurs prisonniers. Mais, c'était sans compter qu'on vienne à leur rescousse, et que l'un des deux bouseux se fasse buter d'une flèche. S'ensuit le dilemme un peu trop classique: Que fait-on ? On balance tout à la police ? On l'enterre ? Je vous laisse imaginer la suite du flim. Juisqu'ici celui ci est parti rapidement en live, et on s'attend donc à une descente en enfer bien comme on les aime. Et finalement, non rien, que d'chie, nada, niet, walou. La tension est au plus bas, les acteurs essaient désespérément de ne pas laisser couler un scénario bancal, mais le vaisseau finit par couler.
Finalement, on en retire que seulement la première partie du flim nous intrigue et nous plonge au coeur de l'histoire, que Jon Voight joue bien mais pas top. On attend de Burt Reynolds un rôle plus important sachant que c'est le personnage qui a le plus de caractère. Les plans caméras sont sans intérêt particulier. Un filtre bleu utilisé lors des scènes de nuit finit par agacer. L'intrigue aurait pût être intéressante si seulement le scénario n'avait pas été aussi plat. Bref, une grande déception pour mon ami et moi, je lui donne l'appréciation : « Peut mieux faire ». Ceci étant dit, nous sommes plus ou moins en désaccord sur le fait de le conseiller ou non. Si vous avez l'occasion de le regarder, et que votre père ou qui que ce soit vous dit que c'est 'achement bien, ne le croyez pas, et passez votre chemin.
Les chasseurs étaient-ils aussi pédophiles et chômeurs ?
RépondreSupprimerSinon Zardoz je connaissais l'image de Sean Connery mais pas le film. Need. Le trailer est d'un autre monde..
Attention Monsieur, vous faites des allusions au monde footballistique. Je ne vous reconnais plus. Mais oui, probablement.
RépondreSupprimerAllusions footballistiques ou constatation d'un déterminisme géographique ?
RépondreSupprimerJe blague évidemment.. aahh le Nord quelle belle région, ses habitants, ses folklores, ses usines désaffectées, ses..